25 septembre 2007

2030, odyssée de la cogénération urbaine

Chauffer, refroidir et électrifier nos villes en 2030 à l’énergie renouvelable, c’est possible, pas cher et cela peut rapporter gros. Tant pour l'environnement que le portefeuille des investisseurs, que ceux-ci soient publics ou privés.

La moitié des bâtiments de Paris, et plus encore à Copenhague, sont chauffés par réseau de chaleur. Et en Belgique? Rien ou presque. Or on pourrait construire environ 1000 centrales électriques à biomasse d’une puissance moyenne de 14 MW. Moyennant l’installation de 50.000 km de réseau le long des voiries, 80% des Belges seraient reliés aux réseaux de chaleur. Utopie? Pas du tout: grâce aux certificats verts, une centrale de 14 MW donne un taux interne de rentabilité de plus de 20%. Soit nettement mieux qu’un projet éolien.


Lire notre article à paraître dans un Cahier de la Cambre intitulé «2029, Pentagonie».

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