En complément du dossier sur la crise du pétrole, voici une interview d’Eric Laurent, auteur de La face cachée du pétrole (Plon, 2006). Laurent s’exprimait le 15 mars 2006 au journal télévisé de la nuit (Soir 3) sur France 3. Sur le fond, je n’aime pas sa conclusion : plus de pétrole, pas de nucléaire, ni d’énergies renouvelables. Mais c’est l’occasion de prouver le contraire. L.M.
C’est dommage de toujours passer de tels reportages ou commentaire si tard le soir, c’est simplement pour ne pas créer de panique ou simplement pour que les états continuent à taxer les carburants tant qu’il y en a. Les énergies renouvelables il y en a, suffit de s’investir vers un développement durable et s’accrocher à notre bonne veile terre pour donner demain à nos enfants un monde moins pollué. Ne pas oublier nous empruntons la terre à nos enfants … E.N.
BASF va investir 3,5 mds dans les hydrocarbures BASF AG a annoncé hier qu’il va investir plus de 3,5 milliards d’euros dans ses activités pétrolières et gazières d’ici à 2010.
Sur ces 3,5 milliards d’euros, environ 800 millions d’euros seront consacrés à deux projets de gaz naturel en Russie, Achimgaz et Iouzhno Russkoye, a précisé un porte-parole du chimiste allemand à Dow Jones Newswires lors de la conférence Oil & Gas du groupe.
BASF a prévu 1,9 milliard d’euros pour la construction de l’oléoduc Nord Stream dans la mer baltique et l’agrandissement des infrastructures en Allemagne.
Pour ses autres projets en Europe et en Afrique du Nord, le groupe a prévu d’investir 800 millions d’euros.
Grâce à ces investissements, BASF met en place une solide base pour la croissance future des bénéfices de sa branche pétrole et gaz, a souligné le porte-parole. BASF estime que ces investissements apporteront une contribution positive aux résultats à partir de 2008.
D’ici à 2009, le groupe compte générer une croissance annuelle de 2% supérieure à celle du marché de la chimie, d’après un document remis lors de la présentation du directeur général de BASF, Jürgen Hambrecht, pendant cette conférence.
Jürgen Hambrecht prévoit que le marché de la chimie affichera un taux de croissance de 3,3% par an entre 2007 et 2009.
Je trouve aussi que le dernier quart du livre est totalement bâclé. L’auteur semble avoir jeté sur le papier tous les chiffres ou toutes les petites informations qui lui restaient. Ensuite, il part dans une réflexion personnelle peut convaincante à la limite de la digression, même s’il est vrai que nous devons rechercher des alternatives à un pétrole de plus rare et être prêts à sa disparition complète.
Je termine le livre ces jours-ci, et le moins que l’on puisse c’est que Eric Laurent enfonce beaucoup de portes ouvertes. C’est cependant une bonne synthèse. La rationnalité économique de ces propos finaux sont discutables. Bien à vous PPV
E.N. #
C’est dommage de toujours passer de tels reportages ou commentaire si tard le soir, c’est simplement pour ne pas créer de panique ou simplement pour que les états continuent à taxer les carburants tant qu’il y en a. Les énergies renouvelables il y en a, suffit de s’investir vers un développement durable et s’accrocher à notre bonne veile terre pour donner demain à nos enfants un monde moins pollué. Ne pas oublier nous empruntons la terre à nos enfants … E.N.
Anonymous #
BASF va investir 3,5 mds dans les hydrocarbures
BASF AG a annoncé hier qu’il va investir plus de 3,5 milliards d’euros dans ses activités pétrolières et gazières d’ici à 2010.
Sur ces 3,5 milliards d’euros, environ 800 millions d’euros seront consacrés à deux projets de gaz naturel en Russie, Achimgaz et Iouzhno Russkoye, a précisé un porte-parole du chimiste allemand à Dow Jones Newswires lors de la conférence Oil & Gas du groupe.
BASF a prévu 1,9 milliard d’euros pour la construction de l’oléoduc Nord Stream dans la mer baltique et l’agrandissement des infrastructures en Allemagne.
Pour ses autres projets en Europe et en Afrique du Nord, le groupe a prévu d’investir 800 millions d’euros.
Grâce à ces investissements, BASF met en place une solide base pour la croissance future des bénéfices de sa branche pétrole et gaz, a souligné le porte-parole.
BASF estime que ces investissements apporteront une contribution positive aux résultats à partir de 2008.
D’ici à 2009, le groupe compte générer une croissance annuelle de 2% supérieure à celle du marché de la chimie, d’après un document remis lors de la présentation du directeur général de BASF, Jürgen Hambrecht, pendant cette conférence.
Jürgen Hambrecht prévoit que le marché de la chimie affichera un taux de croissance de 3,3% par an entre 2007 et 2009.
Laurent Scholaers #
Je trouve aussi que le dernier quart du livre est totalement bâclé. L’auteur semble avoir jeté sur le papier tous les chiffres ou toutes les petites informations qui lui restaient. Ensuite, il part dans une réflexion personnelle peut convaincante à la limite de la digression, même s’il est vrai que nous devons rechercher des alternatives à un pétrole de plus rare et être prêts à sa disparition complète.
Anonymous #
Je termine le livre ces jours-ci, et le moins que l’on puisse c’est que Eric Laurent enfonce beaucoup de portes ouvertes. C’est cependant une bonne synthèse. La rationnalité économique de ces propos finaux sont discutables.
Bien à vous
PPV