Économie
Les batteries, une charge pour l’environnement
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L’avenir est aux bâtiments thermo-efficaces
Le chauffage des bâtiments est probablement le gisement d’économies le plus évident à mettre en œuvre. En effet, la Belgique consomme chaque année plus de 14 millions de TEP (tonnes équivalent pétrole) pour ses bâtiments. Elle est la lanterne rouge en matière d’efficacité énergétique en Europe.
Le communisme chinois est-il soluble dans l’alcool de riz ?
Le gouvernement de Mao Zedong, fort de son enthousiasme idéologique, avait en 1953, lancé la première collectivisation des terres arables en espérant « rattraper le Royaume-Uni en quinze ans ». Mais il est, en politique, des emportements que la réalité met à mal aussi vite qu’ils ont été conçus. Le rêve d’une ruralité à la ville et d’une ville à la campagne, d’une bourgeoisie égale au prolétariat, d’une intelligentsia proche des masses illettrées emmêlait utopies et visions géniales, espérances et douleurs à venir.
0Comment s’enrichir davantage avec du vent ?
Pour comprendre ce qui suit, vous devez maîtriser l’addition et la soustraction.
Imaginez une industrie chimique qui, depuis des années, ne réalise pas de bénéfice avec un chiffre d’affaires fluctuant autour de 300 M€ (millions d’euros). Les perspectives de profits futurs sont inexistants. Quelle peut-être sa valeur en dehors de son outil, passablement vieux, et de quelques terrains, vraisemblablement pollués ? 10M€ ? 20 M€ ?
1La Chine s’est-elle vraiment éveillée ?
C’est un truisme que de l’écrire, à propos de la Chine tout se décline au superlatif. Mais, au-delà de la légitime fascination qu’elle exerce sur les esprits, par la fabuleuse richesse de son histoire et de sa culture, la Chine à en 1994 fait un choix dramatique. Le gouvernement de l’époque, fort de sa croissance économique exceptionnelle (9%), initiée dans les années 80, a opté pour le « tout voiture », si l’on peut dire ; faisant de l’enseignement des anciens et des sages lettre morte.
0Éole contre Vulcain
En regard des sommes gigantesques investies dans le projet ITER (le seul réacteur coûte aux citoyens 4,5 milliards €…), il est légitime de se demander à quoi elles auraient pu servir si nos édiles pouvaient écouter d’autres voix que celles des intérêts des lobbys pro nucléaires, car nous sommes loin d’une gestion des deniers publics en « bon père de famille » et encore moins du principe de précaution à prendre pour la sécurité des habitants proches du site de Cadarache.
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